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Le HPI se définit par un potentiel intellectuel dont le quotient est supérieur à la moyenne.

Il n’est décelable de façon certaine qu’avec la passation d’un test nommé WAIS (pour les adultes) et WISC (pour les enfants). D’autres tests sont possibles en fonction de l’âge.

La passation de ces tests n’a rien à voir avec ce que l’on appelle communément la “culture G”. Elle repose sur l’évaluation de l’étendue de nos compétences cognitives, de nos processus d’apprentissage, de mémorisation, de résolution de problème pour ne citer qu’eux.

Le HPI n’est pas une maladie, ni un handicap. S’il peut être très bien vécu, il peut aussi représenter quelques difficultés au quotidien.

J’ai choisi de ne plus faire passer les tests (pour cela, il vous sera nécessaire de contacter un psychologue réalisant ces passations) et de ne m’intéresser qu’à la façon dont les personnes vivent cette particularité. La passation peut cependant être nécessaire pour décider de l’évolution scolaire d’un enfant, donner une explication à des troubles, ou encore pour simplement poser un mot sur le ressenti de la différence.

Quels que soient les résultats, l’essentiel est de savoir quoi en faire, comment composer avec. Pour cela, je propose de travailler des éléments tels que :

• l’identification et l’accompagnement des émotions

• l aide à la stabilisation de la pensée

• Le travail de l’estime de soi

VOUS RESSENTEZ...

• une difficulté à contrôler vos préoccupations
• et/ou une fatigabilité
• et/ou des difficultés de concentration et/ou de mémorisation
• et/ou une irritabilité
• et/ou des tensions musculaires
• et/ou une perturbation de votre sommeil

et ces éléments ne sont dus à aucune affection médicale connue, peut-être vous serait- il utile de consulter un(e) psychothérapeute qui vous proposera des outils adaptés afin d’apprendre à accompagner ces émotions et ce fonctionnement devenu automatique.

L’anxiété se caractérise par une émotion désagréable courante, comme en filigrane de notre vie, proche de l’inquiétude permanente. On estime qu’elle devient une gêne pour 21% des adultes et elle touche 2 fois plus de femmes que d’hommes. Dans certaines situations, l’anxiété est normale : lorsqu’elle est liée à un examen que l’on s’apprête à passer, il est naturel d’être anxieux. Elle devient plus problématique lorsqu’elle envahit la vie quotidienne, lorsqu’elle limite nos relations sociales ou nos actions. Elle est alors ressentie comme excessive et exagérée par rapport à la situation. Dans ce cas, il peut s’avérer nécessaire de consulter.

Certains la précisent en plusieurs types :

• • l’anxiété généralisée
  • le trouble panique
  • les phobies

Qu’il soit scolaire, familial, au sein du couple ou professionnel, le harcèlement se définit par des violences répétées qui peuvent être verbales, physiques et/ou psychologiques. Il se fonde sur le rejet de la différence et la stigmatisation de certaines caractéristiques (apparence physique, sexe, identité de genre, handicap, appartenance à un groupe social, centres d’intérêts). Il repose sur le fait de porter atteinte à la dignité de la personne qui le subit et de créer un environnement intimidant, hostile, dégradant, humiliant, offensant.

Le ou les harceleurs n’ont pas toujours conscience de l’impact de leurs actions, sous couvert de conventions sociales communément admises, de l’âge. Les conséquences n’en sont pas moins sources de souffrance conduisant au sentiment d’être incompris, voire inexistant aux yeux des autres, à la dévalorisation de soi, à des conduites compensatrices pour “convenir” et à l’isolement.

Dans certains cas, le harcèlement est intrinsèquement lié à un jeu de pouvoirs devenant difficilement discernable.

Si votre enfant en est victime, en souffre au quotidien, ne le laissez pas seul face à cette difficulté. Parlez avec lui, rencontrez les équipes pédagogiques, proposez lui de consulter un psychologue qui saura l’accompagner.

le harcèlement au travail se présente sous la forme d’actes répétés conduisant à une dégradation de l’environnement de travail de la personne qui le subit : moqueries, remarques désobligeantes, intimidations, insultes. Ces actes peuvent consister en des menaces, des attouchements, des allusions laissant planer le doute, de la dévalorisation, de l’isolement. Conscients ou non, tous ont pour finalité de porter atteinte à la dignité, faire douter la personne qui le subit, la fragiliser et la rendre vulnérable en altérant progressivement sa santé mentale ou physique.

Le harcèlement moral est un délit. Rien ne peut justifier ces agissements. Les environnements en vase clos les renforcent et les relations hiérarchiques peuvent freiner leur identification.

Il peut s’inscrire de manière profonde en la personne qui le subit pouvant par là occasionner des problèmes de santé physique ou psychologique (anxiété, dépression, stress post traumatique, suicide), des dépendances (alcool, toxicomanie), des difficultés professionnelles allant jusqu’à la perte de l’emploi, des difficultés personnelles sur les plans conjugal et/ou familial, des absences, une invalidité.

Le premier pas pour mettre fin à cette situation est de la reconnaitre et d’oser en parler.

Vous n’êtes peut-être pas le/la seul(e) dans ce cas au sein de cette entreprise.

Vous n’êtes pas sous-performant parce que vous ne supportez pas la masse de travail que l’on vous demande.

Vous n’êtes pas moins compétente parce que vous êtes une femme dans un métier “d’hommes”.

Vous n’avez pas à subir les avances régulières de votre collègue.

Les dits collègues doivent entendre votre refus d’être traité de la sorte.

Parlons-en.

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